«À deux pas d’un commissariat» de Marseille, les armes à feu circulent sous le manteau de jeunes sicarios

ENQUÊTE - Le trafic d’armes profite à de nombreux jeunes malfaiteurs employés par des organisations criminelles pour intimider des rivaux ou recourir à l’extorsion. Un phénomène troublant que tentent d’endiguer les autorités.

«À deux pas d’un commissariat» de Marseille, les armes à feu circulent sous le manteau de jeunes sicarios
   lefigaro.fr
ENQUÊTE - Le trafic d’armes profite à de nombreux jeunes malfaiteurs employés par des organisations criminelles pour intimider des rivaux ou recourir à l’extorsion. Un phénomène troublant que tentent d’endiguer les autorités.