À Gaza, un génocide qui ne dit pas son nom

Après dix-neuf mois de bombardements, de destructions, d’une famine qui s’installe, la question de la qualification des actes commis par l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne fait de moins en moins de place au doute. La nature de l’offensive contre la population civile et les déclarations du gouvernement qui l’accompagnent étayent l’accusation de génocide tel que défini par les Nations unies en 1948.

À Gaza, un génocide qui ne dit pas son nom
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Après dix-neuf mois de bombardements, de destructions, d’une famine qui s’installe, la question de la qualification des actes commis par l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne fait de moins en moins de place au doute. La nature de l’offensive contre la population civile et les déclarations du gouvernement qui l’accompagnent étayent l’accusation de génocide tel que défini par les Nations unies en 1948.