Le fait que le poisson soit vendu à Marrakech … une recherche de renommée ou une nudité d’un fait silencieux à ce sujet?
Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Muhammad Manfalti_ Heba Press
Pour la conversation d’aujourd’hui sur les marchés des poissons, à l’exception du prix simple annoncé par le jeune Marrakech tout en offrant sa marchandise à bas prix que celles auxquelles les Marocs s’habituent jusqu’à ce que le prix des sardines soit devenu fort, alors ce que sont vous dans d’autres types ..
L’apparition du jeune homme Marrakech déclare les prix avec une face ouverte et un overbourde, et le prix est sous-estimé, il lui apportera inévitablement, et il lui sera amené de la sélection et des préjugés par les professionnels du secteur, surtout après après Son annonce claire et explicite du prix des sardines qui ne dépasse pas 7 à 8 dirhams par kilo, alors qu’il est présenté dans les villes côtières à des prix comprises entre 15 et 25 dirhams, ce qui a fait de cet événement un sujet Pour la discussion, l’analyse et les interprétations.
Parmi les personnes qui ont considéré l’étape, à l’exception d’une tentative du jeune homme d’attirer l’attention, de rechercher la gloire et le bouquet, et récolter les goûts au détriment des sentiments des Marocains.
Parmi les personnes qui ont décrit la sortie du jeune Marrakech comme réussie et audacieuse, ce qui a enlevé une réalité qui est restée silencieuse, et a même révélé le faible contrôle des marchés, c’est ce que le professeur d’université Omar Al -Sharqawi est allé, qui a dit cela L’étape dévoilait le phénomène de la cupidité des médiateurs et des courtiers spécialisés dans le contrôle des prix, en l’absence des sociétés de protection des consommateurs, organisées par la loi, qui ont des pouvoirs importants, car un jeune homme simple a pu remplacer remplacer remplacer Les autorités et associations dans la protection des poches des Marocains, comme cette expérience l’a montré, indiquant que les prix élevés des poissons ne sont pas dus à la rareté mais à cause de la chaîne élargie de médiateurs et de l’absence de censure et de la cupidité des marchands.
Al -Sharqawi a ajouté que l’expérience du jeune Marrakech a montré que le citoyen est victime du marché, car certains ont démissionné de ses fonctions dans la protection de la table des Marocains, et qu’il a donné des leçons éloquentes dans le sens de la protection des consommateurs contre la cupidité, collusion et manque de contrôle.
Omar Al -Sharqawi a souligné que ce jeune homme souffrira sans aucun doute de toutes les formes de vengeance, de frappes, de pression et d’extorsion, car il a mis sa main sur la bouche des baleines moyens et grandes, et a touché ses intérêts dans la monopolisation des prix du poisson à Marrakech.
Et ce qui est certain (Al -Sharqawi) dit que ce que Ibn Marrakesh a révélé, de la complicité des commerçants et des manipulations des courtiers, n’est rien d’autre qu’un petit plus sauvage, le sens de frapper le pouvoir d’achat des Marocains dans toutes les villes marocaines, où la nourriture avec le poisson est devenu un rêve lointain.
Le jeune homme de Marrakech, avec ses vidéos de citoyenneté (AL -Sharqawi, dit), a fourni des leçons dans lesquelles les autorités et les sociétés de protection des consommateurs, les lobbies et le citoyen ont échoué.
La domination d’une culture du monopole et de la collusion entre les commerçants des poissons, ce qui permet le contrôle du marché et des prix;
– Le niveau élevé de cupidité chez les commerçants et les courtiers, où il y a une terrible différence entre le prix de la sortie du poisson du marché de gros et le prix de son arrivée à la table des citoyens;
– Absence absolue des autorités concernant la surveillance des prix des poissons, qui a ouvert la voie aux lobbies afin d’imposer la loi de l’offre et de la demande;
– L’absence des sociétés de protection des consommateurs So-Salled, organisées par une loi, qui a des pouvoirs importants, car un jeune homme simple a pu remplacer les autorités et associations dans la protection des poches des Marocains;
– Cette expérience a montré que les prix élevés des poissons ne sont pas dus à la rareté, mais à cause de la chaîne élargie de courtiers, de l’absence de censure et de la cupidité des marchands;
– L’expérience des jeunes Marrakeshi a montré que le citoyen est victime du marché, car certains ont démissionné de ses fonctions dans la protection de la table des Marocains.
