Al -nador .. 13 ans d’emprisonnement à droite des symboles de corruption dans le secteur de l’éducation

Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :

Heba Press – Muhammad Zaruh

La chambre criminelle de première instance pour le crime financier à la Cour d’appel de Fès a vu, hier soir, une session pour examiner une affaire liée aux déséquilibres financiers et administratifs au sein de la Direction régionale de l’éducation à Nador.

Un certain nombre de fonctionnaires, d’employés et d’entrepreneurs ont participé à cette affaire, car ils ont été accusés d’avoir violé les lois réglementant les accords publics.

Le tribunal a condamné l’emprisonnement en vigueur contre les principaux défendeurs, car il a statué de trois ans de prison pour le chef de l’autorité du bâtiment, de l’équipement et des biens et l’un des entrepreneurs, tout en les obligeant à payer une amende de 40 000 dirhams chacun.

Les décisions comprenaient également d’autres employés, y compris une technologie dans la Direction, avec des sanctions d’un an et demi de prison, en plus de différentes amendes financières.

Dans le contexte de l’indemnisation civile, le tribunal a décidé d’obliger certains des accusés à payer un montant de 500 000 dirhams en faveur de l’Académie régionale de l’éducation et de la formation en Orient, tandis que deux autres défendeurs porteront le même montant en solidarité entre eux.

Ces dispositions se présentent dans le contexte des efforts pour lutter contre la corruption financière et administrative dans les institutions publiques.

Les accusations contre les personnes concernées par l’affaire comprenaient de fortes accusations, notamment le détournement et le gaspillage de fonds publics, la corruption, la collusion dans le détournement de fonds, ainsi que le forgeage et l’utilisation des documents administratifs.

Cette question a suscité une controverse généralisée en raison de la taille des déséquilibres qui ont été révélés et des enquêtes qui ont affecté un certain nombre de fonctionnaires.

Cette décision intervient dans le cadre d’une série d’affaires initiées par la Cour d’appel de Fès, qui vise à lutter contre la corruption dans la gestion de l’argent public, car les autorités judiciaires confirment leur intention d’imposer l’état de droit et de tenir les personnes impliquées dans toute finance financière ou violations administratives.

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