Un symposium national au Collège de Nador révèle les déséquilibres du droit financier de 2025 et des recommandations audacieuses pour la réformer

Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Muhammad Zaruh
Le 27 février 2025, le Collège des multiples disciplinaires a adopté un symposium national sur le sujet de «Droit financier 2025: dimensions économiques et sociales et Betthars financiers», avec la participation d’un groupe de professeurs et d’experts dans le domaine.
Le symposium a été organisé par la Division du droit public en partenariat avec le Laboratoire des études juridiques et politiques des pays méditerranéens, des différends juridiques et judiciaires et de l’intelligence artificielle, et du droit général du droit des affaires, et avec le soutien de l’association des investisseurs à l’est, du groupe Silwan et du Sikodel Center.
Le symposium a été marqué par une large participation qui comprenait plus de 14 interventions scientifiques, en présence d’une grande présence d’étudiants en droit, en particulier les chemins de maîtrise et de doctorat.
Son travail a été lancé avec une session d’ouverture dirigée par le professeur Youssef Antar, où le doyen du collège a souligné l’importance de ce symposium pour mettre en évidence les questions financières publiques, tandis que le chef de la division générale du droit a présenté le cadre général du symposium, et le professeur Mustafa Qureshi a prononcé un discours au nom du laboratoire des études juridiques et politiques des pays Méditerranés.
Les séances scientifiques ont été témoins d’interventions qualitatives, où le Dr Omar Al -Kettani a discuté de l’avenir de l’économie marocaine à la lumière des transformations mondiales, et le professeur Madani Hamidush a traité de la Ziza Al -Ghadani a abordé la question de la crédibilité de la loi financière 2025.
Dans la deuxième session, présidée par le professeur Ahmed Kharga, le professeur Abdel Moneim Majd a examiné les problèmes du conteneur fiscal et de l’appréciation administrative, tandis Ou Muhammad Abrakan a abordé les ressources financières pour activer le régionalisme avancé.
Les travaux du symposium ont été conclus par une session du soir qui a discuté d’autres sujets, où le professeur Ahmed Arab a présenté une vision critique du droit des finances comme un outil pour la mise en œuvre du programme gouvernemental, et le professeur Mohamed Mallah a traité le Maroc envers l’économie verte parler de la programmation de programmation budgétaire 2025-2027 et prédictions économiques.
The symposium came out with several recommendations, most notably the necessity of strengthening the independence of the economic decision, reducing borrowing, encouraging demographic growth, reviewing the tax privileges, integrating digitization and artificial intelligence in the Finance Law, supporting the territorial groups in digital transformation, in addition to the automatic referral proposal for the Finance Law on the Constitutional Court before implementation, and creating a vigilance committee to follow up on financial and economic risks.