Marine Le Pen au 20h de TF1 : suivez son interview en direct

L'essentiel

  • Dans l’affaire des assistants parlementaires du FN/RN, Marine Le Pen et huit eurodéputés sont reconnus coupables de détournement de fonds publics, a annoncé le tribunal. Les douze assistants jugés à leurs côtés ont été déclarés coupables de recel.
  • Comme tous les élus mis en cause, Marine Le Pen est condamnée à une peine d’inéligibilité. Dans son cas, 5 ans d’inéligibilité ont été prononcés avec l’exécution provisoire (y compris donc en cas d’appel) comme demandé par le parquet dans ses réquisitions le 13 novembre dernier. Elle ne pourra donc pas être la candidate du RN à la prochaine présidentielle.
  • « Les juges ont un droit de vie ou de mort sur notre mouvement », avait martelé en amont de l’audience  la cheffe de file du RN qui pourrait être empêchée de se présenter à la présidentielle de 2027, alors qu’elle avait pris position en faveur des peines d’inéligibilité dans de telles affaires.
  • Dans l’affaire des assistants parlementaires du FN/RN, Marine Le Pen et huit eurodéputés sont reconnus coupables de détournement de fonds publics, a annoncé le tribunal. Les douze assistants jugés à leurs côtés ont été déclarés coupables de recel.
  • Comme tous les élus mis en cause, Marine Le Pen est condamnée à une peine d’inéligibilité. Dans son cas, 5 ans d’inéligibilité ont été prononcés avec l’exécution provisoire (y compris donc en cas d’appel) comme demandé par le parquet dans ses réquisitions le 13 novembre dernier. Elle ne pourra donc pas être la candidate du RN à la prochaine présidentielle.
  • « Les juges ont un droit de vie ou de mort sur notre mouvement », avait martelé en amont de l’audience  la cheffe de file du RN qui pourrait être empêchée de se présenter à la présidentielle de 2027, alors qu’elle avait pris position en faveur des peines d’inéligibilité dans de telles affaires.
  • Dans l’affaire des assistants parlementaires du FN/RN, Marine Le Pen et huit eurodéputés sont reconnus coupables de détournement de fonds publics, a annoncé le tribunal. Les douze assistants jugés à leurs côtés ont été déclarés coupables de recel.
  • Comme tous les élus mis en cause, Marine Le Pen est condamnée à une peine d’inéligibilité. Dans son cas, 5 ans d’inéligibilité ont été prononcés avec l’exécution provisoire (y compris donc en cas d’appel) comme demandé par le parquet dans ses réquisitions le 13 novembre dernier. Elle ne pourra donc pas être la candidate du RN à la prochaine présidentielle.
  • « Les juges ont un droit de vie ou de mort sur notre mouvement », avait martelé en amont de l’audience  la cheffe de file du RN qui pourrait être empêchée de se présenter à la présidentielle de 2027, alors qu’elle avait pris position en faveur des peines d’inéligibilité dans de telles affaires.

Le Direct

31.03 à 20h56

Fin du direct

C’est la fin de direct, merci de l’avoir suivi. Retrouvez l’actualité française et internationale dès demain à partir de 7 h 00 avec l’équipe l’Humanitale.

31.03 à 20h29

Marine Le Pen écarte la possibilité de se retirer de la vie politique

Interrogée sur la possibilité de voir Jordan Bardella concourir à l’élection présidentielle de 2027 à sa place et ainsi représenter l’extrême droite, Marine Le Pen a précisé voir en lui « un atout formidable pour le mouvement », tout en ajoutant : « J’espère que nous n’aurons pas à user de cet atout plus tôt qu’il n’est nécessaire ». Selon elle, sa condamnation ne signe « en aucune manière, en aucune façon », son retrait de la vie politique.

31.03 à 20h26

Marine Le Pen compare la France aux « régimes autoritaires »

« Des juges ont mis en place des pratiques que l’on croyait réservées à des régimes autoritaires », a osé Marine Le Pen sur TF1, qualifiant sa condamnation comme un « jour funeste pour notre démocratie et pour notre pays ». Et de poursuivre : « Des millions de Français vont être privés par un juge de première instance, sans recours possible, de la candidate qui est aujourd’hui donnée comme étant la favorite de l’élection présidentielle. »

31.03 à 20h22

Solliciter la grâce d’Emmanuel Macron ? « Nous n’en sommes pas là », balaie Marine Le Pen

Marine Le Pen rejette, pour l’heure, la possibilité de solliciter la grâce d’Emmanuel Macron : « Nous n’en sommes pas là, je crois en la capacité d’une cour d’appel pour analyser avec neutralité ce dossier. Nous n’avons rien à nous reprocher ».

Dans une diatribe aux accents complotistes, l’ancienne candidate du RN a ensuite énuméré l’ensemble des affaires qui touchent la classe politique en l’assortissant d’un commentaire : « Il ne fait pas bon être dans l’opposition dans notre pays ».

31.03 à 20h16

« Il faut que la justice se hâte », clame Marine Le Pen

Sur TF1, Marine Le Pen a exigé que « la justice se hâte » pour lui permettre de se présenter à l’élection présidentielle de 2027. « Je ne vais pas me laisser éliminer ainsi », a-t-elle précisé. « Je ne pensais pas que les magistrats iraient à ce point à l’encontre de notre processus démocratique. Je suis éliminé, mais ce sont des millions de Français qui sont éliminés », a-t-elle poursuivi.

31.03 à 20h11

Marine Le Pen charge la juge, responsable d’une « décision politique »

« La magistrate a assumé de rendre mon appel inutile pour m’empêcher de me présenter et d’être élue à l’élection présidentielle. C’était donc une décision politique qui venait d’être rendue », martèle Marine Le Pen sur le plateau du 20 heures de TF1. Et d’insister : « L’état de droit a été violé par la décision qui a été rendue ».

Le contexte

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La cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, et ses 23 co-prévenus sont au tribunal ce lundi dans le cadre du verdict dans l’affaire des assistants parlementaires des eurodéputés FN/RN. Marine Le Pen et huit eurodéputés sont reconnus coupables de détournement de fonds publics, a annoncé le tribunal. Les douze assistants jugés à leurs côtés ont été déclarés coupables de recel.

Comme tous les élus mis en cause, Marine Le Pen est condamnée à une peine d’inéligibilité. Dans son cas, 5 ans d’inéligibilité ont été prononcés avec l’exécution provisoire (y compris donc en cas d’appel) comme demandé par le parquet dans ses réquisitions le 13 novembre dernier. Elle ne pourra donc pas être la candidate du RN à la prochaine présidentielle.

Le Conseil constitutionnel avait confirmé, vendredi dernier, l’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité d’un élu local de Mayotte ce qui a laissé le champ libre au tribunal correctionnel pour prendre la même décision dans son délibéré.

Le Rassemblement national, lui, prépare le terrain dénonçant par avance la possibilité d’une telle condamnation, mettant en cause une « justice à charge ».