La patronne du RN ne souhaite plus être assimilée à Donald Trump ou à Vladimir Poutine, mais semble alignée sur leurs positions. À l’arrivée, elle apparaît comme incapable de porter une position diplomatique claire.

© Xose Bouzas / Hans Lucas
Le Rassemblement national (RN) aimerait, vite, revenir aux fondamentaux : « La Russie est une menace parmi d’autres, la première menace sur le sol français, c’est l’islamisme, c’est le terrorisme islamique. » C’est ainsi qu’a réagi le député RN Sébastien Chenu à l’allocution d’Emmanuel Macron de mercredi soir. Comme un aveu que l’extrême droite aimerait revenir à ses paniques morales habituelles, tant elle est embarrassée par les derniers bouleversements géopolitiques.
Marine Le Pen ne veut plus,...
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