Andreas Reckwitz, sociologue : «Personne ne veut être un “perdant”. Mais si vous devenez une victime, c’est une autre histoire»
VU D’AILLEURS - Dans son dernier essai, le professeur allemand analyse comment le populisme prospère en transformant les perdants de la mondialisation en victimes, ouvrant ainsi la voie à une politique alimentée par la colère.
lefigaro.fr
VU D’AILLEURS - Dans son dernier essai, le professeur allemand analyse comment le populisme prospère en transformant les perdants de la mondialisation en victimes, ouvrant ainsi la voie à une politique alimentée par la colère.