Assassinat de Larbi Ben M’hidi : la reconnaissance partielle et ambiguë d’Emmanuel Macron
Le 1er novembre, Emmanuel Macron a reconnu la responsabilité de la France dans l’assassinat de Larbi Ben M’hidi, l’un des fondateurs du Front de libération nationale (FLN). Un “geste” que “Tout sur l’Algérie” considère comme “une instrumentalisation de la mémoire pour les besoins de l’ajustement de la politique étrangère de la France”, en plein rapprochement français avec le Maroc.
courrierinternational.com
Le 1er novembre, Emmanuel Macron a reconnu la responsabilité de la France dans l’assassinat de Larbi Ben M’hidi, l’un des fondateurs du Front de libération nationale (FLN). Un “geste” que “Tout sur l’Algérie” considère comme “une instrumentalisation de la mémoire pour les besoins de l’ajustement de la politique étrangère de la France”, en plein rapprochement français avec le Maroc.