Au Burkina, ces veuves de guerres qui disent non à la “charité” et à la “dépendance”
Alors que le nombre de victimes du conflit qui oppose les forces armées burkinabè aux groupes djihadistes ne cesse de croître, le quotidien “Sidwaya” s’intéresse à celles qui restent, les épouses, et à leur vie d’après. Certaines d’entre elles ont pu bénéficier de formations professionnelles dispensées par la gendarmerie nationale.
courrierinternational.com
Alors que le nombre de victimes du conflit qui oppose les forces armées burkinabè aux groupes djihadistes ne cesse de croître, le quotidien “Sidwaya” s’intéresse à celles qui restent, les épouses, et à leur vie d’après. Certaines d’entre elles ont pu bénéficier de formations professionnelles dispensées par la gendarmerie nationale.