Au Liban, une renaissance sur les ruines de l’“axe” iranien

L’élection de Joseph Aoun à la présidence, vacante depuis plus de deux ans, n’aurait pas été possible sans la “défaite cuisante” du Hezbollah face à Israël et la chute du régime de Bachar El-Assad, tous deux alliés de l’Iran, écrit cette journaliste libanaise. Selon elle, ce dénouement “miraculeux” constitue pour le pays le point de départ d’une “troisième indépendance”.

Au Liban, une renaissance sur les ruines de l’“axe” iranien
   courrierinternational.com
L’élection de Joseph Aoun à la présidence, vacante depuis plus de deux ans, n’aurait pas été possible sans la “défaite cuisante” du Hezbollah face à Israël et la chute du régime de Bachar El-Assad, tous deux alliés de l’Iran, écrit cette journaliste libanaise. Selon elle, ce dénouement “miraculeux” constitue pour le pays le point de départ d’une “troisième indépendance”.