Avec le majestueux Four Seasons Hotel Rabat At Kasr Al Bahr : Rabat enrichit son offre touristique de luxe

Cet hôtel compte 200 chambres (dont 40 suites) avec un balcon ou une terrasse privée, d’une collection de sept lieux de restauration (sous la direction du Senior Chef Exécutif Sebastiano Spriveri) et d’un Spa. Bijou architectural : Rabat enrichit son portefeuille touristique avec l’ouverture d’un nouvel hôtel de luxe. Alliant à la fois savoir-faire marocain, style néo-mauresque et design épuré, le Four Seasons Hotel Rabat At Kasr Al Bahr est un véritable bijou architectural. Orné de zellige et de décors réalisés par les artisans marocains, cet hôtel rend hommage à ce lieu ayant servi jadis de résidence estivale au Sultan Moulay Slimane et qui a ensuite abrité l’emblématique hôpital Marie Feuillet. Les détails. Le Four Seasons Rabat At Kasr El Bahr a réussi le pari difficile de ressusciter l’histoire des lieux tout en offrant au Maroc et aux amoureux du voyage une nouvelle destination touristique haut de gamme. A presque quelques kilomètres des Oudayas, ce palace dispose de plusieurs atouts. En plus de garder l’empreinte historique de ce Palais, le Four Seasons Hotel Rabat At Kasr Al Bahr donne sur l’océan Atlantique. Il est desservi par la splendide route côtière de Rabat qui assure aux visiteurs un accès fluide et direct en voiture ou à pied vers toutes les principales artères de la capitale et ses monuments. Erigé sur 5 ha, il est à 30 minutes en voiture de l’aéroport de Rabat-Salé et à 1 heure et 30 minutes de l’aéroport international Mohammed V de Casablanca. «L’ouverture d’un 3ème Four Seasons au Maroc complète notre collection qui est déjà très riche avec un hôtel à Marrakech et un autre à Casablanca», affirme Grégory Viaud, DG de l’établissement, lors d’une visite réservée à la presse le 15 novembre 2024. Cet hôtel compte 200 chambres (dont 40 suites) avec un balcon ou une terrasse privée, d’une collection de sept lieux de restauration (sous la direction du Senior Chef Exécutif Sebastiano Spriveri) et d’un Spa. Les suites Signature se distinguent, telles que la suite Turquoise et la suite présidentielle – Suite Moulay Slimane, avec sa vue panoramique sur l’océan, et le Riad du Sultan, reconstruit sur le modèle de l’ancienne résidence royale, offrant des espaces de vie intérieurs et extérieurs intimes, une piscine à débordement et un bain à remous, le tout avec une perspective à perte de vue sur la mer. En termes de prix, les chambres sont à partir de 5.000 et 6.000 DH, selon les saisons. Pour ce qui est des suites, le tarif des nuitées démarre à 8.000 DH. Une ville dans la ville En plus de la responsabilité de présenter un Four Seasons avec les qualités de services et de produits de luxe, les initiateurs de ce projet endossent une autre responsabilité qui est celle de sauvegarder la richesse et l’histoire de cette œuvre architecturale. Ils se sont même inspirés des quartiers de la ville de Rabat pour baptiser les différents bâtiments de ce palace. «Pour cet hôtel en particulier on a encore plus de responsabilité par rapport à la ville de Rabat, aux R’batis et au Maroc (…) parce qu’il était à la base la résidence du Sultan Moulay Slimane et après, il est devenu un hôpital militaire. On a cette responsabilité d’en faire quelque chose de grandiose», argumente-t-il. Parallèlement, la capitale abrite des sites historiques et dispose d’un potentiel touristique grandissant. A cet égard, le DG de l’hôtel souligne : «Rabat est une ville qui mérite d’être découverte. Les projecteurs ont été souvent braqués sur Marrakech, Fès et Casablanca, et il y a un manque de connaissance concernant la capitale du Maroc. Notre devoir en tant que compagnie internationale est de vraiment donner aux étrangers l’envie de venir ici et de découvrir la Médina (…), allez voir la qasbah des Oudayas et tous ses sites historiques du Maroc reconnus comme patrimoine mondial de l’Unesco et qui restent méconnus». Pour la réalisation du Four Seasons Rabat At Kasr Al Bahr, les auteurs de ce projet ont fait appel aux artisans locaux. Mais, ça ne s’arrête pas là. En effet, l’établissement veut faire associer la culture et l’art marocains au développement de cet hôtel. «Il y a d’ailleurs un bâtiment, entièrement dédié à cela, et qui s’appelle Warcha (…) où on va faire venir des artistes, des décorateurs, et des fashion show pour faire découvrir le Maroc à nos clients», relève M. Viaud. Une destination MICE L’hôtel ambitionne de devenir destination MICE incontournable. Dans ce sens, Gregory Viaud explique : «On a l’ambition de positionner aussi l’hôtel comme destination MICE. D’ailleurs, le mois de décembre s’annonce prometteur et 2025 sera une bonne année». Et d’ajouter : «Pour la salle de conférence, on a déjà des réservations pour les semaines qui arrivent». Il faut dire que le Four Seasons Hotel Rabat At Kasr Al Bahr abrite un centre de conférences offrant 2.700 mètres carrés d’espaces intérieurs et extérieurs. Son centre d’événements comprend une salle de bal royal étalée sur un espace de 1.021 mètres carrés. Celle-ci peut accueillir jusqu’à 1.000 personnes. Elle est complétée par une grande terrasse extérieure. En outre, le centre propose une salle de bal junior pour les évènements plus intimes. Accompagner l’élan de la capitale Ouvert depuis le 9 octobre 2024, ce 3ème établissement Four Seasons au Maroc élargit l’offre hôtelière de Rabat. «On sait tous que Rabat, cité des lumières, est en plein développement. On a tous remarqué le développement qu’a connu la ville durant les cinq et dix dernières années et donc on est sur le bon chemin pour accompagner ce développement tout en gardant en tête les trois axes principaux qu’on veut développer, à savoir le city break, la destination culturelle, cité des lumières et on veut rajouter à cela une destination gastronomique à travers l’offre gastronomique qu’on propose», indique Yasser Maazouz, directeur Marketing de l’hôtel. L’établissement mise aussi sur l’arrivée de plus en plus de touristes à Rabat. «On veut sortir de ce tourisme classique sur la ville de Rabat (…) et développer une destination loisirs à part entière», argumente M. Maazouz.