​Coopération parlementaire Maroc-Chili : Rabat abrite un évènement d'envergure les 17 et 18 décembre

Le Parlement du Maroc organise, en collaboration avec la « Fondation des Rencontres du Futur », ainsi que la Chambre des Députés et le Sénat de la République du Chili, la prochaine édition du « Congrès du Futur », les 17 et 18 décembre à Rabat. Le Parlement du Maroc organise, en collaboration avec la « Fondation des Rencontres du Futur », ainsi que la Chambre des Députés et le Sénat de la République du Chili, la prochaine édition du « Congrès du Futur », les 17 et 18 décembre à Rabat. En présence des autorités qui participeront à cette réunion, les membres de la Commission parlementaire chilienne sur les défis futurs, la science et la technologie dans l'innovation ont annoncé ce que sera le Congrès bicaméral Chili Maroc Avenir qui aura lieu à Rabat.  Les sénateurs chiliens, Ximena Rincón et Francisco Chahuán ont rencontré le ministre de l'Énergie, Diego Pardow ; et le vice-président exécutif de la Fondation Encuentros del Futuro, Guido Girardi, pour faire le point avec la presse chilienne, ce qui sera l'une des principales étapes du processus d'internationalisation de l'événement de diffusion scientifique du Futur Congress. Il y aura également la participation d'une importante délégation chilienne, selon le communiqué du Sénat chilien, composée du ministre des Affaires étrangères, Alberto van Klaveren ; la ministre des Travaux publics, Jessica López ; le ministre de l'Énergie, Diego Pardow ; et le ministre de l'Éducation, Nicolás Cataldo. Le sénateur chilien Francisco Chahuán a indiqué « nous aurons cette expérience au Maroc, sur laquelle nous nous attelons depuis près de trois ans et qui bénéficie du soutien de l'Exécutif et du Parlement du Maroc. Nous aurons la possibilité de continuer à générer ce sceau d'idées qui est précisément la marque Congreso Futuro. Ce sera le prélude au Congrès du Futur que nous tiendrons du 13 au 18 janvier au Chili.» « Lors de la visite, nous serons accompagnés d'une délégation de ce ministère, de membres de la Commission des Défis Futurs et du vice-président exécutif de la Fondation Encuentros del Futuro. L'expérience marocaine sera puissante. L'idée est de savoir comment nous projetons le Futur Congrès, le débat d'idées, les défis et comment nous parvenons à construire des réponses locales aux problèmes mondiaux. Nous avons déjà eu l'expérience d'un congrès binational avec la Bolivie et en Argentine. En mars, nous espérons organiser à Madrid un Congrès ibéro-américain du futur », a-t-il résumé.   Pour sa part, la sénatrice Ximena Rincón a souligné la participation d'autorités nationales à l'événement, telles que les ministres de l'Énergie, Diego Pardow ; et des Travaux Publics, Jessica López, qui parlera de l'évolution de ces politiques publiques dans le pays. Rincón a reconnu que "celui qui me passionne particulièrement et que nous allons développer au Maroc, est l'intelligence artificielle. Nous tenons à remercier le Parlement marocain pour cet engagement et pour avoir réalisé ce Congrès du Futur, car non seulement il nous permet de montrer ce que nous avons fait ici au Chili, mais aussi de continuer à avancer dans l'internationalisation de ce qui a commencé il y a 14 ans lorsque nous avons créé la Commission Futur avec nos collègues Girardi, Chahuán, Coloma et d'autres qui continuent de le faire aujourd'hui. effort". « Nous serons accompagnés du vice-président du Sénat, Matías Walker. Je pense que c'est un pas de plus vers la consolidation du fait que nous devons anticiper les défis et être capables de légiférer, comme nous l'avons fait dans des domaines aussi importants que les neurosciences, les transports, l'économie verte, les forêts et l'intelligence artificielle, que le gouvernement a entrepris le travail que nous l’a fait à la table de l’intelligence artificielle pour le débat législatif », a-t-elle rappelé. Pour sa part, le ministre de l'Énergie, Diego Pardow, a souligné que "le Chili a une expérience de plus de 15 ans en matière de politiques d'énergie propre et le Congrès du Futur a été l'un des premiers endroits où l'on a commencé à parler de l'hydrogène vert. Le Maroc a une position très similaire à la nôtre, c'est un pays avec un grand potentiel solaire et un littoral étendu qui leur permet d'envisager le défi de l'énergie propre et de promouvoir l'innovation." À son tour, le vice-président de la Fondation Encuentros del Futuro, Guido Girardi, a rappelé que « le Congrès Futuro est l'un des événements les plus importants de la planète. C'est une entité qui fédère tous les secteurs et favorise une conversation entre toutes les personnes sans couleur politique du monde académique, scientifique et économique. L’effort pour générer une vision commune est fondamental ; cela ne se produit nulle part et c’est pourquoi il y a un intérêt pour le modèle chilien qui génère d’importants accords politiques.