Dans la famille Mulliez, au nom du pèze, du fisc et du saint profit
Leurs mains ne tremblent pas quand ils suppriment des emplois, comme ils viennent de l’annoncer chez Auchan. Et nul besoin d’avoir le bras bien long pour le faire, puisqu’exilés fiscaux en Belgique, pour beaucoup, ils ne sont vraiment pas loin. Dans les méandres d’un gigantesque groupe qui refuse de l’admettre, leur fortune, évaluée par l’économiste Benoît Boussemart pour L’Humanité, à 52 milliards d’euros, demeure toujours largement hors de portée.
humanite.fr
Leurs mains ne tremblent pas quand ils suppriment des emplois, comme ils viennent de l’annoncer chez Auchan. Et nul besoin d’avoir le bras bien long pour le faire, puisqu’exilés fiscaux en Belgique, pour beaucoup, ils ne sont vraiment pas loin. Dans les méandres d’un gigantesque groupe qui refuse de l’admettre, leur fortune, évaluée par l’économiste Benoît Boussemart pour L’Humanité, à 52 milliards d’euros, demeure toujours largement hors de portée.