«Dès que ça parle de Bachar, les gens rient» : à Damas, les humoristes «ne se refusent rien»

REPORTAGE - Après des années semi-clandestines, des comédiens ont investi la scène d’un café de la capitale syrienne. Une thérapie nécessaire dans un pays à la liberté d’expression bridée depuis plus d’un demi-siècle.

«Dès que ça parle de Bachar, les gens rient» : à Damas, les humoristes «ne se refusent rien»
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REPORTAGE - Après des années semi-clandestines, des comédiens ont investi la scène d’un café de la capitale syrienne. Une thérapie nécessaire dans un pays à la liberté d’expression bridée depuis plus d’un demi-siècle.