«Dès que ça parle de Bachar, les gens rient» : à Damas, les humoristes «ne se refusent rien»
REPORTAGE - Après des années semi-clandestines, des comédiens ont investi la scène d’un café de la capitale syrienne. Une thérapie nécessaire dans un pays à la liberté d’expression bridée depuis plus d’un demi-siècle.
lefigaro.fr
REPORTAGE - Après des années semi-clandestines, des comédiens ont investi la scène d’un café de la capitale syrienne. Une thérapie nécessaire dans un pays à la liberté d’expression bridée depuis plus d’un demi-siècle.