Élus mais interdits de siéger, le sacerdoce des élus kurdes sous la pression de l’État turc
Depuis la tentative de coup d'Etat de 2016 en Turquie, la plupart des villes kurdes dirigées par le Parti démocratique des peuples (HDP) sont dirigées par un kayyum, administrateur d’état nommé par l’AKP, le parti du président Recep Tayyip Erdogan. Alors que le parti DEM, successeur du HDP, a remporté haut la main les élections municipales dans la région, la police turque a encerclé empêche désormais les élus d’accéder aux mairies. Dans la plus grande ville kurde, Amed (Diyarbakır), après huit ans sous la coupe du kayyum, tout est à reconstruire.
humanite.fr
Depuis la tentative de coup d'Etat de 2016 en Turquie, la plupart des villes kurdes dirigées par le Parti démocratique des peuples (HDP) sont dirigées par un kayyum, administrateur d’état nommé par l’AKP, le parti du président Recep Tayyip Erdogan. Alors que le parti DEM, successeur du HDP, a remporté haut la main les élections municipales dans la région, la police turque a encerclé empêche désormais les élus d’accéder aux mairies. Dans la plus grande ville kurde, Amed (Diyarbakır), après huit ans sous la coupe du kayyum, tout est à reconstruire.