Gaza : le chef de l'ONU évoque «la période peut-être la plus cruelle» du conflit
Après plus de deux mois et de demi de blocage, «enfin, l’aide humanitaire entre au compte-goutte», mais ce qui est autorisé par Israël ne représente «qu’une pincée d’aide alors qu’un déluge est nécessaire», considère Antonio Guterres.
lefigaro.fr
Après plus de deux mois et de demi de blocage, «enfin, l’aide humanitaire entre au compte-goutte», mais ce qui est autorisé par Israël ne représente «qu’une pincée d’aide alors qu’un déluge est nécessaire», considère Antonio Guterres.