Guinée: le désarroi des journalistes, un an après l'interdiction de plusieurs médias
En Guinée, cela fait un an que les autorités guinéennes ont retiré les agréments d’exploitation de plusieurs médias privés, en invoquant un « non-respect du contenu des cahiers des charges ». Au total, ce sont six radios et télévisions, parmi les plus regardées du pays, qui ont cessé d’émettre presque simultanément. Plusieurs mesures similaires ont suivi, le Premier ministre Bah Oury expliquant vouloir « plus de responsabilité et de professionnalisme » de la part des journalistes. Des mesures qui ont largement contribué à fermer l'espace médiatique guinéen.
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En Guinée, cela fait un an que les autorités guinéennes ont retiré les agréments d’exploitation de plusieurs médias privés, en invoquant un « non-respect du contenu des cahiers des charges ». Au total, ce sont six radios et télévisions, parmi les plus regardées du pays, qui ont cessé d’émettre presque simultanément. Plusieurs mesures similaires ont suivi, le Premier ministre Bah Oury expliquant vouloir « plus de responsabilité et de professionnalisme » de la part des journalistes. Des mesures qui ont largement contribué à fermer l'espace médiatique guinéen.