« Je connais la douleur d’autrui, je l’ai vue en face » : la subtile résistance poétique de l’Iranienne Atieh Attarzadeh

Enfant, dans son pays natal, l’Iran, elle a connu la guerre de trop près. Elle écrit des romans, filme et versifie, parce qu’il faut bien relever la tête jusqu’au jour suivant.

« Je connais la douleur d’autrui, je l’ai vue en face » : la subtile résistance poétique de l’Iranienne Atieh Attarzadeh
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Enfant, dans son pays natal, l’Iran, elle a connu la guerre de trop près. Elle écrit des romans, filme et versifie, parce qu’il faut bien relever la tête jusqu’au jour suivant.