Le rôle du cinéma en tant que plateforme universelle pour encourager le dialogue et la transformation sociale a été mis en lumière, samedi, lors d’une conférence de presse du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM).
Présidé par le réalisateur italien Luca Guadagnino, le prestigieux jury de cette édition est composé d’éminentes figures internationales, à savoir le réalisateur iranien Ali Abbasi, la réalisatrice indienne Zoya Akhtar, l’actrice américaine Patricia Arquette, l’actrice belge Virginie Efira, l’acteur australien Jacob Elordi, l’acteur britannico-américain Andrew Garfield, l’actrice marocaine Nadia Kounda et le cinéaste argentin Santiago Mitre. A cette occasion, M. Guadagnino a mis en relief le pouvoir unique du cinéma de «transcender les frontières culturelles» et d’inviter à une réflexion collective sur les enjeux contemporains, soulignant que cet art est un catalyseur pour promouvoir des récits porteurs de sens et d’espoir.
Il a également évoqué son attachement personnel à Marrakech, une ville qu’il considère comme une source d’inspiration riche et intemporelle.
Les membres du jury ont, de leur côté, insisté sur le rôle du cinéma dans la sensibilisation aux défis sociaux et environnementaux. Selon eux, chaque film en compétition offre une perspective singulière, avec la capacité de toucher les consciences et d’initier des changements.