Les télécoms pèsent sur la capacité bénéficiaire du scope BKGR en baisse de 2,6%

La capacité bénéficiaire des entreprises suivies par BMCE Capital Global Research (BKGR) a reculé de 2,6% au premier semestre 2024, atteignant 16,9 milliards de dirhams. Ce repli est principalement compensé par les bonnes performances des banques, qui contribuent à 63% des résultats positifs, malgré la hausse du coût du risque. En revanche, le secteur des télécoms, impacté par le provisionnement d'IAM pour couvrir des dommages liés à l'affaire Inwi, a pesé négativement sur les résultats globaux. Les sociétés industrielles, malgré une stagnation au premier semestre, ont enregistré une reprise au deuxième trimestre avec une hausse de 4,2%. M.Ba.   Image Une : Légende : La capacité bénéficiaire des entreprises suivies par BMCE Capital Global Research (BKGR) a reculé de 2,6% au premier semestre 2024, atteignant 16,9 milliards de dirhams. Ce repli est principalement compensé par les bonnes performances des banques, qui contribuent à 63% des résultats positifs, malgré la hausse du coût du ri

Les télécoms pèsent sur la capacité bénéficiaire du scope BKGR en baisse de 2,6%
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La capacité bénéficiaire des entreprises suivies par BMCE Capital Global Research (BKGR) a reculé de 2,6% au premier semestre 2024, atteignant 16,9 milliards de dirhams. Ce repli est principalement compensé par les bonnes performances des banques, qui contribuent à 63% des résultats positifs, malgré la hausse du coût du risque. En revanche, le secteur des télécoms, impacté par le provisionnement d'IAM pour couvrir des dommages liés à l'affaire Inwi, a pesé négativement sur les résultats globaux. Les sociétés industrielles, malgré une stagnation au premier semestre, ont enregistré une reprise au deuxième trimestre avec une hausse de 4,2%. M.Ba.   Image Une : Légende : La capacité bénéficiaire des entreprises suivies par BMCE Capital Global Research (BKGR) a reculé de 2,6% au premier semestre 2024, atteignant 16,9 milliards de dirhams. Ce repli est principalement compensé par les bonnes performances des banques, qui contribuent à 63% des résultats positifs, malgré la hausse du coût du risque. 22 lectures