Massacre de Barsalogho au Burkina Faso: «Ce bain de sang relève d'un crime de guerre évident»
Le 24 août 2024, au moins 133 personnes, dont une grande majorité de civils, étaient tués dans une attaque terroriste, dans le village de Barsalogho, au Burkina Faso. Au petit matin, les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim) lançaient un assaut, alors que des civils creusaient des tranchées pour protéger cette ville qui abrite une base militaire de l'armée burkinabé. Deux mois plus tard, l'ONG Human Rights Watch publie, ce 29 octobre 2024, un rapport très détaillé sur cette attaque. Bénédicte Jeannerod, directrice France de l'ONG, est l'Invitée d'Afrique Midi.
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Le 24 août 2024, au moins 133 personnes, dont une grande majorité de civils, étaient tués dans une attaque terroriste, dans le village de Barsalogho, au Burkina Faso. Au petit matin, les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim) lançaient un assaut, alors que des civils creusaient des tranchées pour protéger cette ville qui abrite une base militaire de l'armée burkinabé. Deux mois plus tard, l'ONG Human Rights Watch publie, ce 29 octobre 2024, un rapport très détaillé sur cette attaque. Bénédicte Jeannerod, directrice France de l'ONG, est l'Invitée d'Afrique Midi.