«Mon souhait c'est qu'il n'y ait pas d'autre dissolution» de l'Assemblée, dit Emmanuel Macron
S’il a «assumé» sa décision du 9 juin 2024, le chef de l’État a reconnu à nouveau qu’elle n’avait pas été «comprise» par les Français et qu’elle n’avait pas «permis de clarifier les choses».
