Mort d’un bourreau « de race blanche caucasienne »

A voir et à entendre la classe médiatico-politique blablater en mode diversion sur Jean-Marie Le Pen (son talent, ses outrances, ses fâcheries avec sa fille…) et s’offusquer des (maigres) manifestations de joie dans quelques villes à l’annonce de sa mort (1), le tout afin de ne pas trop insister sur ses crimes, son apologie du nazisme, son antisémitisme tranquillement affiché, sur sa monstrueuse création rebaptisée RN, on pense à Mirabeau pour qui « Il existe quelqu’un de pire que le bourreau, c’est son valet ». Théophraste R. Auteur du fascicule (inachevé) « Faire son deuil en prenant deux fois des moules » (méthode de Pierre Desproges). (1) Des manifestations publiques de joie eurent lieu aux Etats-Unis à l’annonce de la mort de Ben Laden, mais, bon, on peut danser sur des cadavres s’ils ne sont pas « de race blanche caucasienne ». Source: https://www.legrandsoir.info/