«On ne gracie pas un traître» : la presse algérienne fustige la position française sur le dossier Sansal
Paris avait tout misé sur une grâce de l’écrivain franco-algérien le 5 juillet, fête de l’indépendance, pour relancer la relation avec Alger. Les autorités algériennes en ont décidé autrement.
lefigaro.fr
Paris avait tout misé sur une grâce de l’écrivain franco-algérien le 5 juillet, fête de l’indépendance, pour relancer la relation avec Alger. Les autorités algériennes en ont décidé autrement.