«On peut désormais critiquer les autorités sans se faire arrêter»: à Damas, la fin de la loi du silence

REPORTAGE - Malgré la récente flambée de violence qui a secoué certaines villes du pays et les inquiétudes sur l’avenir de la Syrie, un parfum de liberté inédit flotte sur la capitale syrienne cinq mois après l’éviction de Bachar el-Assad.

«On peut désormais critiquer les autorités sans se faire arrêter»: à Damas, la fin de la loi du silence
   lefigaro.fr
REPORTAGE - Malgré la récente flambée de violence qui a secoué certaines villes du pays et les inquiétudes sur l’avenir de la Syrie, un parfum de liberté inédit flotte sur la capitale syrienne cinq mois après l’éviction de Bachar el-Assad.