Le Prix Sharjah pour les finances publiques est un outil clé pour promouvoir l'innovation et optimiser la gestion des ressources publiques dans le monde arabe, a affirmé la ministre de l'Économie et des Finances, Nadia Fettah, dans une allocution lue en son nom par Sonia Hamamouch.
Organisé en partenariat avec l'Organisation Arabe pour le Développement Administratif (OADA), le symposium introductif de ce prix s'est tenu jeudi à Rabat et a mis en lumière le rôle de cette distinction dans le renforcement de la transparence et de la bonne gouvernance. Nasser Al Hatlan Al-Qahtani, directeur général de l’OADA, a souligné l’importance du Prix Sharjah en tant que vecteur de modernisation des finances publiques, permettant un échange de bonnes pratiques entre les institutions et favorisant une gestion publique plus performante et transparente.
Ce prix, qui en est à sa troisième édition, s’ouvre avec 11 catégories institutionnelles et 11 catégories individuelles, visant à récompenser les contributions remarquables des institutions et individus dans la gestion des finances publiques. Le symposium a également été marqué par un atelier de formation sur les achats publics, abordant leur impact sur le développement économique et social, ainsi que les réformes modernes dans ce domaine. Cet événement s’inscrit dans les efforts de l’OADA pour soutenir la modernisation des pratiques financières et atteindre un développement durable, en facilitant un alignement des pratiques publiques avec des standards internationaux d’excellence.
M.Ba.
Image Une : Légende : Le Prix Sharjah pour les finances publiques est un outil clé pour promouvoir l'innovation et optimiser la gestion des ressources publiques dans le monde arabe, a affirmé la ministre de l'Économie et des Finances, Nadia Fettah, dans une allocution lue en son nom par Sonia Hamamouch.
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