Sans aide internationale, la révolution syrienne risque d’être enterrée
Trois mois après la chute de Bachar El-Assad, un déchaînement de violences entre les anciens combattants du régime et les forces du nouveau pouvoir constitue un “réveil brutal”, commente “L’Orient-Le Jour”. Quelles que soient les réserves à l’endroit du président Ahmed El-Charaa, estime le journal libanais, la communauté internationale devrait l’aider, parce qu’“il incarne aujourd’hui le seul espoir que le pays ne retombe pas dans la guerre civile”.
courrierinternational.com
Trois mois après la chute de Bachar El-Assad, un déchaînement de violences entre les anciens combattants du régime et les forces du nouveau pouvoir constitue un “réveil brutal”, commente “L’Orient-Le Jour”. Quelles que soient les réserves à l’endroit du président Ahmed El-Charaa, estime le journal libanais, la communauté internationale devrait l’aider, parce qu’“il incarne aujourd’hui le seul espoir que le pays ne retombe pas dans la guerre civile”.