« Si je lui ai uriné dessus, je m’en excuse » : au procès de Châteauroux, le principal prévenu qualifie ses actes de « recadrages »
L’un des principaux mis en cause dans le dossier de maltraitances sur des mineurs de l’aide sociale à l’enfance, placés dans des structures qui ne disposaient pas d’agrément, a réfuté toute violence, mardi 15 octobre, au deuxième jour du procès à Châteauroux, préférant le terme de « recadrage », en dépit de récits accablants des victimes.
humanite.fr
L’un des principaux mis en cause dans le dossier de maltraitances sur des mineurs de l’aide sociale à l’enfance, placés dans des structures qui ne disposaient pas d’agrément, a réfuté toute violence, mardi 15 octobre, au deuxième jour du procès à Châteauroux, préférant le terme de « recadrage », en dépit de récits accablants des victimes.