À la recherche du piano parfait
En 2022, le Conservatoire royal de musique de Toronto s’est lancé dans une mission d’une folle exigence : remplacer le piano de sa salle de concert, dans laquelle se produisent les plus grands solistes du monde. Aucune erreur n’était permise. Le quotidien canadien “The Globe and Mail” retrace cette quête à 300 000 dollars.
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En 2022, le Conservatoire royal de musique de Toronto s’est lancé dans une mission d’une folle exigence : remplacer le piano de sa salle de concert, dans laquelle se produisent les plus grands solistes du monde. Aucune erreur n’était permise. Le quotidien canadien “The Globe and Mail” retrace cette quête à 300 000 dollars.