Côte d'Ivoire: le gouvernement menace de licencier les enseignants grévistes, les syndicats en colère
En Côte d'Ivoire, « tout enseignant qui ne sera pas à son poste [ce matin] sera considéré comme démissionnaire ! ». Un ultimatum signé de Anne Ouloto, la ministre de la Fonction publique, évoqué dès le 5 avril, alors qu'un appel à la grève est lancé pour les 7 et 8 avril dans les établissements scolaires. Les syndicats réclament une prime d'incitation trimestrielle de 150 000 à 400 000 francs CFA (soit 230 à 610 euros) pour tous les enseignants. Nouvel épisode d’un conflit social qui dure depuis plus de six mois.
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En Côte d'Ivoire, « tout enseignant qui ne sera pas à son poste [ce matin] sera considéré comme démissionnaire ! ». Un ultimatum signé de Anne Ouloto, la ministre de la Fonction publique, évoqué dès le 5 avril, alors qu'un appel à la grève est lancé pour les 7 et 8 avril dans les établissements scolaires. Les syndicats réclament une prime d'incitation trimestrielle de 150 000 à 400 000 francs CFA (soit 230 à 610 euros) pour tous les enseignants. Nouvel épisode d’un conflit social qui dure depuis plus de six mois.