«J’ai prié pour des jours meilleurs mais maintenant, je ne sais plus quoi dire» : à Kharkiv, la peur de passer un hiver sans chauffage ni électricité

REPORTAGE - Après les dernières frappes russes, 65 % des capacités énergétiques du pays sont désormais détruites.

«J’ai prié pour des jours meilleurs mais maintenant, je ne sais plus quoi dire» : à Kharkiv, la peur de passer un hiver sans chauffage ni électricité
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REPORTAGE - Après les dernières frappes russes, 65 % des capacités énergétiques du pays sont désormais détruites.