L’Association Le Grand Atlas de Marrakech et les deux agences coréennes Kidc et Koica consolident leur partenariat

Des staffs pédagogiques et administratifs ont été mobilisés pour accueillir de nombreux élèves dans les meilleures conditions possibles afin d’assurer une bonne reprise des cours, malgré certaines contraintes liées aussi bien au séisme qu’aux difficultés d’accès. Dans différentes régions de la ville ocre et du Royaume, le partenariat entre le Maroc et la République de Corée a été renforcé, grâce aux Associations Kidc et Koica qui ont organisé divers programmes de coopération internationale et de formation dont le Programme Kosmos, qui est un programme de trois Clubs : le Club A qui comprend un cours de langue coréenne, le Club B dédié à l’échange culturel coréen et marocain, et enfin le Club C pour la création de contenus numériques. Les activités de chaque Club comprennent un programme d’apprentissage socio-émotionnel, ainsi que l’éducation à la citoyenneté mondiale. Le projet Sidi Hssain sis à la commune d’Amimiz dans la province d’Al Haouz, qui fut l’une des régions les plus touchées par le séisme, vise, en outre, le renforcement de l’engagement de la société civile en faveur des activités relatives au développement durable, notamment au niveau du monde rural, et dédié à la prise en charge psychologique et à une bonne récupération mentale des enfants affectés par le tremblement de terre, pour leur garantir aussi l’accès à un environnement propice et idoine leur permettant des activités aux retombées positives sur leur santé. Des staffs pédagogiques et administratifs ont été mobilisés pour accueillir de nombreux élèves dans les meilleures conditions possibles afin d’assurer une bonne reprise des cours, malgré certaines contraintes liées aussi bien au séisme qu’aux difficultés d’accès. Les deux Agences Kidc et Koica, en parfaite coordination avec l’Association Le Grand Atlas (AGA), relèvent tous les défis pour assurer le cours normal de la vie en rétablissant la confiance des élèves, de leurs parents et de tous les citoyens sinistrés. Il faut souligner que les deux associations coréennes soutiennent un peu partout en Afrique les grands projets d’appui à la protection de l’environnement naturel ainsi que sa biodiversité par un développement et un renforcement des capacités aussi bien agricoles que climatiques. Kidc et Koica s’investissent dans plusieurs projets au bénéfice des enfants et restent toujours à l’écoute des communautés, notamment pour améliorer le développement socio-économique avec des programmes d’aide pour la réduction de la pauvreté et ainsi renforcer la qualité de la santé des adolescents, des jeunes femmes par le renforcement des liens entre les domaines de l’éducation et de la santé en consolidant toujours une excellente coopération avec les différents pays partenaires pour l’amélioration et la protection des enfants et des femmes. Lesquels projets visent à développer un environnement protecteur pour les enfants, les adolescents et les femmes, afin aussi de les protéger contre toutes les formes de violence, d’exploitation, d’abus et de négligence et à faire en sorte que leurs droits soient promus et respectés. Selon le Professeur Mohamed Knidiri, «ce partenariat entre la République de Corée du Sud et le Royaume du Maroc représente une nouvelle ère de paix et d’humanisme, pour la création de sociétés plus inclusives, plus justes et plus équitables grâce à un développement économique, socioculturel, fondé sur aussi bien la science que l’innovation de nouvelles technologies, qui serviront l’humanité, et préservera notre environnement. Ce partenariat s’inscrit dans le cadre d’efforts engagés de part et d’autre et à l’échelle mondiale pour conduire notre planète vers une nouvelle ère de paix et d’humanisme. Les différentes activités de ce partenariat sont une double occasion pour présenter les cultures riches et variées de nos deux peuples et donneront aussi un nouvel élan et essor à nos différents secteurs touristiques, tout en nous faisant espérer une coopération et un soutien durables pour nos deux peuples». Zohra Wolltcheva J.