Le retrait de l’OMS, “une blessure profonde pour les États-Unis” aussi
Le plus gros bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé va quitter le navire à l’issue d’un processus qui durera un an. Un coup dur pour l’agence onusienne, mais aussi une fragilisation de la santé des Américains, décrypte le magazine “Science”.
courrierinternational.com
Le plus gros bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé va quitter le navire à l’issue d’un processus qui durera un an. Un coup dur pour l’agence onusienne, mais aussi une fragilisation de la santé des Américains, décrypte le magazine “Science”.