Mayotte ravagée par le cyclone Chido : « Il faut arrêter de faire semblant et tirer vraiment les leçons »
Les dévastations de Chido, comme la difficulté d‘organiser des secours, montrent que l’État français persiste à considérer les Mahorais comme des citoyens de seconde zone. Rivomalala Rakotondravelo, directeur d’école à Mamoudzou, se dit très inquiet pour l’avenir de l’archipel.
humanite.fr
Les dévastations de Chido, comme la difficulté d‘organiser des secours, montrent que l’État français persiste à considérer les Mahorais comme des citoyens de seconde zone. Rivomalala Rakotondravelo, directeur d’école à Mamoudzou, se dit très inquiet pour l’avenir de l’archipel.