Nouveau gouvernement Barnier : 38 ministres pour une équipe où la Macronie se taille la part du lion, selon Gabriel Attal

Deux semaines après sa nomination à Matignon, Michel Barnier prévoit un « gouvernement paritaire » de 38 ministres, dont 16 de plein exercice, a rapporté Gabriel Attal aux députés macronistes. Le Premier ministre a réuni à 15 h 00 jeudi les formations politiques consultées en vue de la « formation rapide » d’un gouvernement, a fait savoir Matignon. Il a rencontré jeudi matin séparément la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, puis le président du Sénat Gérard Larcher. Ce gouvernement est marqué à droite : Michel Barnier n’a pas réussi, comme le souhaitait Emmanuel Macron, à débaucher à gauche, si ce n’est, toujours selon Attal, un «divers gauche». Un entretien entre Michel Barnier et Emmanuel Macron prévu à 19 h 15. Le Premier ministre présentera sa déclaration de politique générale le 1er octobre, jour de mobilisation. Première embûche à surmonter : le vote du budget à l’automne, sans majorité absolue pour le faire adopter.  

Nouveau gouvernement Barnier : 38 ministres pour une équipe où la Macronie se taille la part du lion, selon Gabriel Attal
   humanite.fr
Deux semaines après sa nomination à Matignon, Michel Barnier prévoit un « gouvernement paritaire » de 38 ministres, dont 16 de plein exercice, a rapporté Gabriel Attal aux députés macronistes. Le Premier ministre a réuni à 15 h 00 jeudi les formations politiques consultées en vue de la « formation rapide » d’un gouvernement, a fait savoir Matignon. Il a rencontré jeudi matin séparément la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, puis le président du Sénat Gérard Larcher. Ce gouvernement est marqué à droite : Michel Barnier n’a pas réussi, comme le souhaitait Emmanuel Macron, à débaucher à gauche, si ce n’est, toujours selon Attal, un «divers gauche». Un entretien entre Michel Barnier et Emmanuel Macron prévu à 19 h 15. Le Premier ministre présentera sa déclaration de politique générale le 1er octobre, jour de mobilisation. Première embûche à surmonter : le vote du budget à l’automne, sans majorité absolue pour le faire adopter.