RDC: «Ce qui a participé à la souffrance des Congolais doit désormais participer à leur réparation»
En République démocratique du Congo, les autorités se lancent dans une démarche très ambitieuse : identifier toutes les victimes du « Genocost », c’est-à-dire des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis dans le pays depuis 30 ans, et offrir des réparations aux survivants. Par une loi de décembre 2022 a donc été créé le Fonarev, le Fonds national de réparation de toutes ces victimes. Kevin Ngunga Makiedi en est le directeur général. De passage à Paris, il explique à Christophe Boisbouvier comment et en combien de temps le Fonarev espère pouvoir identifier environ 10 millions de personnes.
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En République démocratique du Congo, les autorités se lancent dans une démarche très ambitieuse : identifier toutes les victimes du « Genocost », c’est-à-dire des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis dans le pays depuis 30 ans, et offrir des réparations aux survivants. Par une loi de décembre 2022 a donc été créé le Fonarev, le Fonds national de réparation de toutes ces victimes. Kevin Ngunga Makiedi en est le directeur général. De passage à Paris, il explique à Christophe Boisbouvier comment et en combien de temps le Fonarev espère pouvoir identifier environ 10 millions de personnes.