Sénégal: «Ce n'est pas une surprise, on s'attendait bien évidemment à une dissolution»

Au Sénégal, le président Bassirou Diomaye Faye a annoncé, hier, jeudi 12 septembre au soir, la dissolution de l'Assemblée nationale, dont la majorité lui était hostile. Après la présidentielle du 24 mars dernier, les Sénégalais retourneront donc aux urnes, le 17 novembre prochain, pour élire leurs députés. Le chef de l'État était-il vraiment obligé de dissoudre ? Et son parti, le Pastef, ne prend-il pas un risque en allant à ces législatives ? Mamadou Lamine Sarr est enseignant-chercheur à l'université numérique Cheikh Amidou Kane. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.

Sénégal: «Ce n'est pas une surprise, on s'attendait bien évidemment à une dissolution»
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Au Sénégal, le président Bassirou Diomaye Faye a annoncé, hier, jeudi 12 septembre au soir, la dissolution de l'Assemblée nationale, dont la majorité lui était hostile. Après la présidentielle du 24 mars dernier, les Sénégalais retourneront donc aux urnes, le 17 novembre prochain, pour élire leurs députés. Le chef de l'État était-il vraiment obligé de dissoudre ? Et son parti, le Pastef, ne prend-il pas un risque en allant à ces législatives ? Mamadou Lamine Sarr est enseignant-chercheur à l'université numérique Cheikh Amidou Kane. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.