Zad Moultaka crie la paix avec Samas, le soleil, à l'Institut du monde arabe

Samas, Crier la paix. C'est le titre de l'exposition de Zad Moultaka qui vient de s'ouvrir à l'Institut du monde arabe. L'installation créée pour le pavillon du Liban à la Biennale de Venise en 2017 n'a jamais été aussi actuelle dans un monde fracturé, spécialement au Moyen-Orient.  L'artiste franco-libanais y dénonce la violence dans une œuvre qui se nourrit de l'Antiquité. Le visiteur entre dans l'installation visuelle et sonore. Dans le fond de la salle, un mur brille de mille feux. Il est recouvert de pièces de monnaie anciennes, symbole du veau d'or et de l'idolâtrie. Face à la puissance de l'argent, est érigé un moteur de bombardier qui représente la violence alors que le chant et la musique s'élèvent pour dire l'humanité. Rencontre avec l'artiste.

Zad Moultaka crie la paix avec Samas, le soleil, à l'Institut du monde arabe
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Samas, Crier la paix. C'est le titre de l'exposition de Zad Moultaka qui vient de s'ouvrir à l'Institut du monde arabe. L'installation créée pour le pavillon du Liban à la Biennale de Venise en 2017 n'a jamais été aussi actuelle dans un monde fracturé, spécialement au Moyen-Orient.  L'artiste franco-libanais y dénonce la violence dans une œuvre qui se nourrit de l'Antiquité. Le visiteur entre dans l'installation visuelle et sonore. Dans le fond de la salle, un mur brille de mille feux. Il est recouvert de pièces de monnaie anciennes, symbole du veau d'or et de l'idolâtrie. Face à la puissance de l'argent, est érigé un moteur de bombardier qui représente la violence alors que le chant et la musique s'élèvent pour dire l'humanité. Rencontre avec l'artiste.