Bétharram : François Bayrou nie toujours et attaque la gauche
L’interrogation orale était un peu particulière pour l’ancien ministre de l’Éducation nationale, mardi 18 février. François Bayrou, maintenant chef de gouvernement, était sous le feu des questions des députés concernant ce qu’il savait ou ne savait pas ou feignait d’ignorer de l’affaire Bétharram – 114 plaintes déposées pour des violences ou des violences sexuelles dans les années 1950 à 2010 contre des responsables de l’établissement privé catholique proche de Pau. « Ce matin, dans le quotidien la République des Pyrénées, l’enquêteur de la section de recherche au moment des faits affirme que le défèrement a été retardé parce que le procureur général voulait voir ce dossier suite à une intervention de M. Bayrou (alors ministre de l’Éducation – NDLR). Est-ce que ce militaire de la gendarmerie a menti ? » a attaqué Colette Capdevielle, députée socialiste des Pyrénées-Atlantiques. On revient sur cette séquence avec Cyprien Caddeo, journaliste politique.
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L’interrogation orale était un peu particulière pour l’ancien ministre de l’Éducation nationale, mardi 18 février. François Bayrou, maintenant chef de gouvernement, était sous le feu des questions des députés concernant ce qu’il savait ou ne savait pas ou feignait d’ignorer de l’affaire Bétharram – 114 plaintes déposées pour des violences ou des violences sexuelles dans les années 1950 à 2010 contre des responsables de l’établissement privé catholique proche de Pau. « Ce matin, dans le quotidien la République des Pyrénées, l’enquêteur de la section de recherche au moment des faits affirme que le défèrement a été retardé parce que le procureur général voulait voir ce dossier suite à une intervention de M. Bayrou (alors ministre de l’Éducation – NDLR). Est-ce que ce militaire de la gendarmerie a menti ? » a attaqué Colette Capdevielle, députée socialiste des Pyrénées-Atlantiques. On revient sur cette séquence avec Cyprien Caddeo, journaliste politique.