Prendre une décision, la bonne décision… oui ! non ! peut-être ! ou jamais !

Nos décisions sont influencées par notre expérience, notre éducation, notre environnement et parfois même par notre humeur du jour. Une bonne nuit de sommeil peut éclairer un choix complexe, tout comme une mauvaise journée peut nous pousser à prendre une décision impulsive. Prendre une décision, c’est un peu comme choisir entre une salade verte et un burger bien juteux. On sait ce qui est bon pour nous, mais la tentation est grande. Alors, comment faire le bon choix ?! La prise de décision est un art subtil, un équilibre entre intuition, réflexion, entraînement, expérience, environnement, clairvoyance, gestion du stress, gestion du temps, gestion des émotions et parfois… entre improvisation, talent, connexion, libération… ! Comme le disait Oscar Wilde, «le seul moyen de se débarrasser d’une tentation, c’est d’y céder». Certes, mais en matière de décision, il vaut mieux réfléchir un peu avant de plonger la tête la première. Trop y réfléchir à cette prise de décision, n’est-ce pas procrastination, doute, hésitation, manque d’action… ?! Que d’interrogations pour une simple prise de décision… simple Mmmm, compliquée DOUBLE Mmmmm !!! Oui ou non ?! Telle est la question !!! Telles sont les questions ?! Chaque jour, nous sommes confrontés à des choix, petits ou grands : porter ça ou ceci, manger cela ou ça, dire beaucoup ou peu, acheter ou pas, faire ou ne pas faire, commencer ou attendre, changer de job, dire «oui» à une opportunité, «non» à une proposition douteuse, ou encore «peut-être» à une invitation dont on a envie, un peu, pas trop, on ne se sait pas trop !!! Et oui car des fois, on ne sait juste pas trop ou juste pas assez pour décider !!! Le doute est humain, mais trop d’hésitation peut paralyser. D’ailleurs, ne dit-on pas que «le mieux est l’ennemi du bien»?! Je vous parle ici du perfectionnisme qui lui aussi va venir intervenir dans notre prise de décision, dans notre soit-disant bonne décision ! Chercher la perfection peut mener à l’inaction. Pourtant, un «mauvais» choix assumé vaut mieux qu’un non-choix subi. Oui, oui, vous avez bien lu ! Dans cette démarche et dans ce cheminement vers la bonne décision, ou tout simplement vers la décision, il y a aussi le : Qui consulter ?! Quand concerter ?! On nous conseille souvent de demander l’avis des autres. Bonne idée !!! Mais attention aux avis trop nombreux : c’est le syndrome du «trop de cuisiniers gâte la sauce». L’entourage peut être un atout ou un frein. Certains projettent leurs peurs, d’autres leurs ambitions à notre place. Leur avis n’est donc pas le nôtre, ou pour plus de clarté, non objectif et non adapté à nos besoins et nos projections en termes de décisions et de moment de décider ! S’entourer de personnes inspirantes et bienveillantes est une clé. Comme disait Steve Jobs, «ne laissez pas le bruit des opinions des autres étouffer votre propre voix intérieure». Les échos polluants à votre profonde conviction ! Bref, écouter oui, mais suivre aveuglément, non ! Ça s’appelle de l’écoute objective et responsable. Autrement dit, écouter sans se laisser influencer, ce sujet mériterait d’ailleurs une chronique propre à lui, qu’en pensez-vous chers lectrices et lecteurs fidèles ?! Et, donc, l’influence intérieure ou extérieure dans la prise de décision : ange gardien ou démon tentateur ?! Nos décisions sont influencées par notre expérience, notre éducation, notre environnement et parfois même par notre humeur du jour. Une bonne nuit de sommeil peut éclairer un choix complexe, tout comme une mauvaise journée peut nous pousser à prendre une décision impulsive. Une bonne réflexion partagée entre amis peut nous éclairer comme le contraire, une vision sombre ou fragile de notre entourage pourrait nous mettre dans l’embarras ou dans le flou ! Alors, comment s’assurer de prendre la bonne décision ?! Voici une recette simple et efficace, offerte par mes soins dans ma chronique du «Mieux communiquer… mieux vivre» : – Respirer : oui, même avant d’envoyer ce mail décisif ! – Lister les pour et les contre : un classique qui fonctionne ! – Se projeter : comment je me sentirai dans 6 mois si je choisis A ou B ? – Faire confiance : elle en sait parfois plus qu’on ne le croit ! Prendre une décision, c’est accepter l’incertitude et c’est aussi avoir le courage de trancher. Car au final, ce n’est pas le choix lui-même qui compte le plus, mais ce que l’on en fait après. Oui, oui, vous m’avez bien lue, c’est la suite de cette décision qui va en faire une bonne ou moins bonne de décision… Faites-vous confiance, choisissez le bon timing car c’est très important dans la prise de décision, ne faites pas vos choix sous forte émotion, quelle qu’elle soit, joie ou non joie, alliez-vous de projections positives et bienveillantes, posez des objectifs smart pour mieux consolider vos décisions… Maintenant, fermez vos yeux et croyez en votre choix très fort, très très fort… Alors, prêts à décider ?! Prêts à mieux décider, Oui, Non, Peut-être, Beaucoup…