Procès des viols de Mazan : « Après tout, personne n’est mort », « je vais violer ta mère »… la culture du viol en plein jour
« Je vais violer ta mère, tu vas voir », a menacé l’un des coaccusés du procès des viols de Mazan en réponse à une militante féministe, à la sortie du tribunal, selon une vidéo publiée mardi 17 septembre, sur Instagram. De son côté, le maire de Mazan Louis Bonnet a tenu des propos odieux - « Après tout personne n’est mort »-, dans une interview diffusée le même jour par la BBC. Ce procès qui s’est ouvert le 2 septembre dernier juge 51 hommes, accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot sous soumission chimique après qu’elle a été droguée par son mari Dominique Pelicot.
« Je vais violer ta mère, tu vas voir », a menacé l’un des coaccusés du procès des viols de Mazan en réponse à une militante féministe, à la sortie du tribunal, selon une vidéo publiée mardi 17 septembre, sur Instagram. De son côté, le maire de Mazan Louis Bonnet a tenu des propos odieux - « Après tout personne n’est mort »-, dans une interview diffusée le même jour par la BBC. Ce procès qui s’est ouvert le 2 septembre dernier juge 51 hommes, accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot sous soumission chimique après qu’elle a été droguée par son mari Dominique Pelicot.
